http://www.manger-local.com/
Bienvenue dans Manger Local Normandie.
Manger Local Normandie vous propose des paniers issus d’une quinzaine de producteurs bio et durables de Haute-Normandie. Fruits et légumes, pain normand et bio, farine pour machine à pain, laitages, fromages de chèvre et de vache, porc des chaumières, bœuf bringé, volailles, confitures, biscuits, poisson, cidre, jus de fruits, alcools…
Nos premiers paniers, comment ça marche ?
Pour vous permettre de commander dès maintenant, nous avons décidé de faire une ouverture progressive.
Pour commencer, nous mettons à votre disposition 7 points relais : Bénouville, Saint Vaast Dieppedalle, Yvetot, le Havre, Fécamp, Bréauté et Yport. Des nouveaux relais vont se rajouter à la liste dans les mois à venir. De même, le choix des produits va augmenter rapidement. Bon appétit et bonne découverte du site !
http://www.manger-local.com/Manger-Local-Haute-Normandie-a.html
Accéder à la boutique
Manger Local Normandie a fêté la livraison de ses premiers paniers à Bénouville. Depuis l’ouverture du site en avril, vous êtes nombreux à attendre l’arrivée des premiers paniers Manger Local en Haute-Normandie. Maintenant c’est chose faite ! Isabelle Arson-Guignard a accueilli les premiers clients dans son salon de thé de Bénouville, qui sont venus retirer leurs paniers de légumes, épicerie bio, cidre, jus de pommes, etc.
Pour cette première, nous avons été gâtés par les paniers de Laetitia Desutter, qui nous a généreusement servis : 1 laitue 1 feuille de chêne 1 botte de radis rond rouge 1 botte d’oignon 1 botte de carottes 500g de navets 1 concombre 1 Kg de pommes de terre nouvelles 1/2 chou blanc 1 botte de persil 1 Kg d’épinards
Contact : Fabio Sarmento da Silva
347 rue du Maréchal Leclerc
76790 Le Tilleul
tél.: 02 35 28 00 62
port. : 06 29 45 62 06
fax: 02 34 08 73 49
http://www.manger-local.com/
mardi 14 juillet 2009
vendredi 10 juillet 2009
dimanche 5 juillet 2009
Rosette
Visites des enfants à la ferme pédagogique
En fin d'année scolaires, plusieurs classes sont venues nous rendre visite.
Elles ont participé à différentes activités : La chaine Alimentaire, le cycle des saisons, les cultures, la tranformation de la laine
Merci aux instituteurs et institutrices pour la valorisation de la visite. Merci aux crèches pour les photos qu'elles ont exposé.
Maintenant, c'est la saison des centres de Loisirs de venir jardiner, goûter...
Exposition photographique et cartes postales
Exposition de SERGE PRIEUX, chaque jour, 15h00-18h00
Pourquoi cette exposition ?
Dans sa préface des contes et nouvelles de la campagne de Guy de Maupassant, Michel Lécureur à écrit :
« En découvrant le thème du présent recueil de contes et nouvelles, on pourrait être tenté de soupirer en se disant que le monde de la campagne que Guy de Maupassant a connu est décidément bien révolu. Les récoltes se font avec des machines de plus en plus perfectionnées et imposantes, le beurre et le cidre se fabriquent mécaniquement, et l’automobile a remplacé la voiture à cheval. Les chemins de terre tendent à disparaitre et si l’alouette chante toujours, on peut se demander pour combien de temps encore.
Et pourtant, ces nouvelles de Maupassant témoignent de la permanence de nos campagnes normandes. Qui de nous, pour peu que nous soyons des randonneurs attentifs à la vie de la nature, ne s’est pas trouvé un jour en présence de quatre lignes de hêtres… si hauts qu’ils semblaient atteindre les nuages, et dont les têtes « s’agitaient et chantaient une plainte interminable et triste » (le fermier) ? Qui de nous, pour peu que nous ayons quelques talents d’observateurs n’a pas remarqué, au printemps, le beau « soleil de mai (verser) sa claire lumière sur les pommiers épanouis, ronds comme d’immenses bouquets blancs, roses et parfumés » (le baptême) ?... »
Dans sa préface des contes et nouvelles de la campagne de Guy de Maupassant, Michel Lécureur à écrit :
« En découvrant le thème du présent recueil de contes et nouvelles, on pourrait être tenté de soupirer en se disant que le monde de la campagne que Guy de Maupassant a connu est décidément bien révolu. Les récoltes se font avec des machines de plus en plus perfectionnées et imposantes, le beurre et le cidre se fabriquent mécaniquement, et l’automobile a remplacé la voiture à cheval. Les chemins de terre tendent à disparaitre et si l’alouette chante toujours, on peut se demander pour combien de temps encore.
Et pourtant, ces nouvelles de Maupassant témoignent de la permanence de nos campagnes normandes. Qui de nous, pour peu que nous soyons des randonneurs attentifs à la vie de la nature, ne s’est pas trouvé un jour en présence de quatre lignes de hêtres… si hauts qu’ils semblaient atteindre les nuages, et dont les têtes « s’agitaient et chantaient une plainte interminable et triste » (le fermier) ? Qui de nous, pour peu que nous ayons quelques talents d’observateurs n’a pas remarqué, au printemps, le beau « soleil de mai (verser) sa claire lumière sur les pommiers épanouis, ronds comme d’immenses bouquets blancs, roses et parfumés » (le baptême) ?... »
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